Pierre Duriot : peintre : 07 71 15 65 48 : duriot.pierre@bbox.fr ou http://www.pierre-duriot.com
Verrières-le-Buisson, où j’exposais la toile Gare de Port-Bou dans une magnifique hall rénové avec d’immenses peintures et sculptures dues aux invités d’honneur. Les finissage et décrochage donnaient lieu à un superbe concert de jazz, suivi d’un pot amical de haute tenue. Que du bonheur pour ce salon de printemps très chic où j’ai déjà obtenu deux prix. La gare est à retrouver à la page Cerbère.
Verrières-le-Buisson, quarantième salon de printemps, nouvelle salle d’exposition super classe, un tiers de sculpteurs parmi les artistes, des toiles sur sélection, une par peintre, une organisation aux petits oignons, avec la présidente et le secrétaire, à la table avec l’ordinateur, le trésorier, en conversation avec moi et un accueil très sympathique dans cet endroit où j’ai déjà reçu deux prix. J’ai donc un faible pour cette petite ville de région parisienne et son salon toujours très animé et réussi. Si vous habitez par-là, passez le voir. J’y serai le dimanche 25 mars après-midi pour un finissage avec un groupe de jazz. Découvrez aussi l’événement sur quatre pages dans le magazine Univers-des-Arts.
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AlexY-D : Photographe, à retrouver sur http://lespeintresdenevers.wordpress.com/alexy-d-photographe/ s’est livré à un critique sympa de ma peinture.
J’ai vu de nouvelles peintures sur le site et j’espère vraiment les voir en vrai lors d’une exposition prochaine . C’est très beau. Cela magnifie des objets du réel dont la vision est peu accessible à la plupart d’entre nous et qui appartiennent à l’histoire des hommes et à leur labeur. Ces objets nous sont rendus plus vrais, plus présents par ton talent de peintre, et d’une certaine façon je trouve dans tes toiles une dimension onirique singulière. Sans oublier ton énergie du trait qu on peut aimer aussi chez un Bernard Buffet.
Merci Alex





Ca y est, j’ai fait mon intéressant à l’Université du temps libre à Nevers. Public et accueil très sympathiques venus m’écouter parler de la genèse de la série Horizons maritimes et de mes inspirations de peintre. Et comme chacun sait, parler n’est pas trop mon truc, ça n’a duré que deux heures. Bon si, je me suis un peu laissé aller, mais ce fut intéressant comme expérience et les gens du public ont été très sages et assidus, bien mieux qu’une bande d’élèves du CP et même que d’un amphithéâtre de faculté. Merci à eux donc. https://duriot.wordpress.com

Préparation de l’inauguration du salon de thé La-Promenade, le long du canal, près du port de la Jonction à Nevers. L’endroit est charmant, tenu par Valérie et Fernand Cidre et sera verni officiellement le mercredi 03 mai. A leur demande, je participe à la décoration du nouvel établissement avec quatre grandes toiles installées en ce lundi premier mai. Bientôt une série de photos complète sur ce nouvel endroit très bucolique.

Du 29 avril au 05 juin, je serai en exposition au Parc-Floral de Vincennes avec le Cercle des artistes de Paris. Sera présentée, entre autres, la toile originale qui sert de logo à notre éminent blog du Colonel. Pour ceux qui voudraient des invitations particulières, pour le vernissage, avec musique et Champagne, j’en dispose de quelques exemplaires, me contacter en messages privés.
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Michel Philippart s’est livré à une critique de mon exposition chez KTreize, du 06/07/16 au 06/08/16, merci à lui : Pierre Duriot expose en juillet à la Galerie K 13, rue de Nièvre et dans les vitrines d’Artiste-Galerie, rue des Merciers à Nevers.
De lui, nous connaissons sa période picturale actuelle pour en avoir vu quelques exemplaires d’une exposition à l’autre. Ici, il s’agit de présentations plus étoffées, déclinant les diverses facettes de son travail depuis quelques années. Le sujet, les bords de mer. Non pas les paysages traditionnels des côtes plus ou moins sauvages et naturels, mais des vues de ports industriels et de commerce, et des bateaux qui y entrent ou en sortent: cargos, pétroliers, porte-containers,….
Thèmes assez rares chez les peintres, mais combien forts et attachants par l’humanité qui s’en dégage. Non pas des images de travailleurs ou de techniciens, mais toujours les machines, outils de leur labeur: des grues, des cargos, des tours… Paysages désertiques, mais nullement abandonnés.
Ces immenses machines reflètent notre civilisation, celle où d’énormes engins ont pris le pouvoir et permettent le transport des marchandises d’un continent à l’autre. Chez Duriot, nulle nostalgie, ni jugement concernant l’exploitation des travailleurs ou les risques de pollution. Le peintre offre des images documentaires, embellies par sa perception, mais sans jamais donner une opinion, une approbation ou une désapprobation. Il laisse le spectateur libre de ses choix, ou de ne pas en émettre si ces peintures se suffisent en elle-même pour leur esthétique. Quelle esthétique? dominantes de couleurs assez froides (gris, bleus) traversées de taches chaudes (orange, jaune, rouge). Sobriété dans le choix des teintes qui rend le graphisme encore plus fort: lignes parallèles, perpendiculaires ou sécantes qui emplissent l’espace. Certes, chaque toile est fortement figurative, mais chacune par sa répartition des lignes et des couleurs frappe la sensibilité du spectateur dès la première seconde avant que le sujet représenté ne soit identifié. Des toiles assez grandes dont les bords sans cadre deviennent presque blancs, s’harmonisant avec le mur sur lequel elles sont accrochées. Toutefois, ma préférence se portent sur les peintures plus petites, souvent verticales, au ciel chargé et très travaillé, à l’ambiance forte, presque lourde, au sujet que le spectateur interprètera à sa guise; tours de cargo, grues, tours d’usine pétrolière, fusée prête à décoller. Pierre Duriot attribue un titre, un lieu précis à chaque toile. Il y rattache un souvenir personnel… Le public n’en retient ni le titre, ni le lieu, mais se contente, et c’est déjà énorme, de l’impression qu’il a ressentie. Bravo et merci à Pierre Duriot de nous offrir de telles bases pour notre imagination.
Michel Philippart
Un vernissage artistique et mécanique
Le musée de la Machine Agricole de Saint-Loup a accueilli les artistes de son exposition du mois de mai, samedi matin à 11 heures pour un vernissage collectif en présence de nombreux invités. Le moment a tenu toutes ses promesses avec la présence de plusieurs personnalités de la région, maires, député, conseillers, mais également des acteurs du monde artistique local, venus apporter leur soutien à cette initiative originale mêlant l’art à la mécanique agricole dans une interaction heureuse entre traits, couleurs et pièces de métal, pour un ensemble dédié au travail et à la création, sous le titre Organique-Mécanique. Discours de bienvenue inhabituel, depuis le siège élevé d’une moissonneuse batteuse, visite guidée en présence des artistes et vin d’honneur au milieu de ces engins, plus grand rassemblement au monde de modèles de moissonneuses-batteuses, ont séduit les visiteurs. Toujours dynamique, l’équipe du musée s’est partagée pour faire découvrir l’ensemble des pièces et des œuvres aux visiteurs, a valorisé les créations apportées dans de belles installations et réunis les médias locaux. Les représentants du Journal du centre, du Régional de Cosne et de France-3 Bourgogne sont passés par Saint-Loup et vont faire découvrir cette belle escale historique et culturelle au public. Voir aussi dans http://lespeintresdenevers.wordpress.com
Les Papillons : clôture en novembre à Carpentras
Vous vous souvenez certainement de cette manifestation évoquée ci-dessous dans le blog à laquelle je participais : les Papillons de Carpentras. Festival international, 200 toiles, 200 peintres, des œuvres sur support souple présentées tout l’été dans la rue au milieux des nombreuses festivités qui caractérisent cette ville du sud. L’heure est au bilan et les toiles les plus appréciées seront à nouveau exposées, puis celles pour lesquelles les peintres ont donné leur aval seront vendues aux enchères. Si vous êtes de passage dans le coin, le carton est pour vous.
Pierre Duriot au Pouliguen à la galerie 7L avec Maysonnave, Carton, Bonnet et Breteil de mars à mai.

Pâques 2012. Je me présente comme artiste peintre à la porte d’un chantier naval de Lorient. L’homme de quart me laisse entrer sur la zone interdite au public et prendre quelques photos, dont ce remorqueur-pilote sur cales, en cours de réfection, avec visiblement des travaux sur les hélices. Le temps de digérer l’image et le résultat est aujourd’hui sur la toile. Une 100X100 qui sera exposée lors du Salon d’Automne du Groupe, le 28 septembre prochain au Palais Ducal.
Terminal pétrolier du Havre : 100X50 : acrylique sur toile
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Nouvelle série : Horizons maritimes : cliquer sur les noms des villes en haut de la page. Dernières expositions fin 2011 : le salon d’Automne, avec le Groupe, au restaurant La-Cour-Saint-Etienne, à l’hôtel Mercure avec le Rotary, au salon d’Automne de Cours-les-Barres, avec le Groupe. Chez Barbier en Juin à Nevers.
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Et mon premier roman : Le syndrome Rapa-Nui, un thriller politico-financier écrit début 2012 vient de paraître chez Publibook. A découvrir sur http://duriotpierre.wordpress.com
Mon livre-essai sur l’enfance est sorti en librairie. A découvrir sur http://pierreduriot.wordpress.com ou chez mon éditeur http://editions-harmattan.fr
Mon second livre vient de paraître : un conte intitulé L’étrange voyage d’Ahmed toujours chez l’Harmattan, illustré par Christophe Alvès.
A découvrir sur le blog http://duriotalves.wordpress.com
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Sélection pour le Parc Floral de Paris, par le Cercle des artistes de Paris. Exposition du 28 avril au 03 juin.
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Au printemps 2012 : invitation aux 13ème rencontres d’arts de La-Charité-sur-Loire dans le cadre prestigieux du Prieuré, salle du XVIIIème siècle, du 14 au 22 avril.
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Le week-end du 1er mai, du samedi 28 avril au mardi 1er mai, exposition au salon des arts de Montillot. Découvrir les toiles de l’expo en vidéo sur http://youtu.be/tQP6hcaLgO8
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La drague de Loire Samuel-de-Champlain : à retrouver avec son texte sur la page Saint-Nazaire.
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Le pont de Saint-Nazaire : 30X40 : acrylique sur toile
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La raffinerie de Donges : 100X50
Le petit port de Norden, deuxième volet : la barge de travail : 100X50
Le petit port de pêche de Norden, dans le nord de l’Allemagne : périple de l’été 2011 : 30X40
Le TK-Bremen échoué sur une plage du Morbihan
TK-Bremen : 30X40
Le cargo maltais TK-Bremen, échoué sur une plage du Morbihan, spectacle surréaliste et moribond à la fois. Peint ce week-end et fini ce lundi 19/12.
Baleine métallique échouée sur son ventre, écrasée sous sa propre pesanteur, le TK Bremen est réduit au silence comme un adversaire KO, rejeté par l’océan, mère de vie exaspérée souvent par nos défis technologiques et nos pollutions. Le diesel silencieux nous rappelle toute les fragilités de nos mécaniques et la nécessité d’une relation plus saine à notre environnement. Les vagues nous offrent ce spectacle à la fois surréaliste et moribond, qui sonne comme un rappel à l’ordre de certaines réalités.
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Saint-Georges : Le-Havre : 70X90
A suivre :
Quatre nouvelles toiles au restaurant : la Cour-Saint-Etienne. Madrague (le petit), Porte-Container (le petit), Zeebrugge et Malte. Rue Saint-Etienne à Nevers. Esthétique des plats, portions conséquentes et sourires de la patronne sont au rendez-vous. C’est bon, le personnel est aux petits soins et les prix sont raisonnables.
Leur site : http://www.restaurant-la-cour.com
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Dernière toile, toujours issue du périple de l’été 2011. La rive de l’estuaire de l’Oder, en Allemagne, saisie depuis le ferry.
A lire : la nouvelle page Zeebrugge : cliquer en haut à droite sur le nom de la ville. La toile ci-dessous est en exposition au restaurant La-Cour-Saint-Etienne, rue Saint-Etienne à Nevers.
Le port de Zeebrugge au matin : 73X50 : une histoire belge sympa.
Un bateau océanographique en fin de construction : 80X40 : sur un chantier naval de Rottedam : au matin aussi. Seul moment où il ne pleuvait pas en août 2011.
Terminal pétrolier au Havre : au petit matin : 100X50
Comme l’âge de pierre a voisiné un temps avec l’âge du bronze, l’âge de l’acier se superpose à celui du silicium. Matière emblématique de l’ère industrielle, l’acier est battu en brèche par un silicium, composant essentiel de l’informatique nouvelle qui signe un basculement vers le cybermonde. Mais, nous expliquent les scientifiques, le cerveau de l’homme est resté presque intact et le citadin moderne s’adapte à ses mondes industriels et virtuels avec le même cerveau que celui des homo-sapiens, chasseurs-cueilleurs nomades. Le progrès technologique devance le progrès humain, le virtuel informatique double la philosophie et si dans nos civilisations occidentales, les sociétés ont eu le temps de s’adapter plus ou moins progressivement à ces outils technologiques, d’autres pays sont passés directement d’une organisation tribale à la société de consommation.
Pilotes : saint-Nazaire : 70X90
Prolongement surpuissant de la main de l’homme, outil démesuré au service de la production de biens matériels, le bras d’acier s’est acoquiné avec le processeur au silicium. Si l’un attend son conducteur d’engin, l’autre impose à l’homme sa logique binaire et commande l’acier avec son propre langage. Né de la volonté et du génie humain, le couple infernal assujettit progressivement la civilisation, transforme le chasseur-cueilleur-agriculteur en consommateur hystérique, condamné, pour la génèse permanente de ses nouveaux outils à en utiliser les produits à un rythme toujours plus soutenu.
Et l’homme rêve, s’échappe, passe dans les mondes virtuels, irréels, où le soleil ne se lève ni ne se couche, où la vie se prolonge, au gré des réussites. A t-il inventé ces mondes pour y jouer ou pour y oublier les aliénations issues de son génie ? Le silicium, son 1 et son 0, ses logiciels éternellement en attente d’une réponse binaire si peu humaine, donne paradoxalement à l’homo-sapiens accès à des univers où la réalité n’a plus cours.
Pierre Duriot
Containers : Le-Havre : 40X60
Forage : 70X90
Port de Gozo : Malte : 70X90
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13 juillet 2011 à 12 h 16 min
« Homme libre, toujours tu chériras la mer… » écrivait Baudelaire.
Pierre Duriot remplace les mots par les traits et les couleurs pour célébrer la mer et son univers magique.
il s’agit d’une mer proche de tous les hommes par leurs activités, à travers une évocation des ports et des côtes.
La constante des orangés et des rouges de cette série symbolise à merveille cette passion qui a toujours dévoré marins et romantiques.
Comment ne pas se sentir concerné, lorsqu’on a la vague à l’âme.
4 janvier 2012 à 15 h 34 min
Pierre.
J’aime véritablement votre travail d’artiste .
les couleurs sont belles .Une invitation aux rêves .
J’aime aussi vos textes .Vous avez du talent pour l’écriture .
c’est magnifique .
Merci
Marie-Anne
4 mai 2012 à 18 h 13 min
j’adore. j’ai partagé sur facebook. Je trouve que vous faite passer un message très fort par les couleurs et les formes. C’est avec plaisir que je suivrez vos oeuvres.
10 mai 2012 à 8 h 56 min
Merci Dubus, une évocation des éres de l’acier et du composant électronique qui se superposent et la symbolique à la fois puissante et fragile des constructions et des du travail des hommes. Merci encore.
10 mai 2012 à 9 h 07 min
C’est l’âge de Pierre….. Bravo mon vieux PiDur :-)))
22 octobre 2012 à 7 h 32 min
C’est l’âge de Pierre
13 janvier 2013 à 10 h 55 min
Je suis arrivée sur votre site par hasard et vous souhaite bonne continuation, les tableaux sont très sympas !! J’aime beaucoup le style. cordialement
19 novembre 2013 à 18 h 06 min